
Je ne crois pas en avoir encore parlé en ces lignes, mais j’ai une de mes bonnes connaissances, A., qui est décédée en mars 2005 d’un cancer du cerveau.
Quand cette amie avait eu son diagnostic, j’avais eu le mien peu auparavant et il m’avait semblé que, comme moi, elle serait suivie et traitée, puis qu’elle s’en remettrait. La différence, majeure, entre son cas et le mien était la malignité de sa tumeur.
Elle a toutefois choisi de ne pas parler de son cancer. Elle avait une tumeur au cerveau, elle avait dû être opérée,...
[Lire la suite]